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LA DÉBÂCLE

Plage de l'Est / Montréal / 2020

Lauréat concours de design / 2013

En collaboration avec Ni conception

Cliquez ici pour consulter les planches de présentation

"Les premiers rayons de soleil réchauffent la glace sur la berge. Celle-ci se brise, pousse le sol pour en moduler les formes, laissant derrière elle une topographie aux fragments apparents et un bâtiment épousant ses reliefs, devenant lui-même une composante du paysage. Perçue comme un élément naturel du site, la jetée (abritant un pavillon) s'amorce dès l'entrée du site et culmine jusqu'au point d'observation : lieu flottant entre ciel et eau offrant aux usagers un lien unique avec le fleuve. Le projet, modulé comme une topographie, permet la tenue de nombreuses activités, le « paysage construit » devenant le lieu de ralliement, de spectacle, de découverte. Au niveau du site, la descente progressive sous forme de paliers permet au regard de balayer l'horizon, assurant une liaison entre l’utilisateur et le fleuve. Les trois principaux paliers favorisent des usages distincts: jeux, circulations universelles, plage et sports nautiques. Enfin, un rapport de forces s'établit également entre des éléments de natures différentes qui apparaissent à la fois complémentaires et distincts. Un dialogue s'établit entre le brut et le construit (bâtiment-paysage, berges sauvages, aménagement paysager et plage construite). Bref, l'ensemble des interventions puise à même le caractère existant du site afin de l'inscrire dans un ensemble plus large, plus vaste, fidèle à son identité insulaire."

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ÉCOLE DES JEUNES-RIVERAINS

Saint-Anicet / En construction

Design intérieur & architecture par R+FA

Client: CSSVT

L’agrandissement de l’École des Jeunes-Riverains à Saint-Anicet a été conçu pour répondre aux besoins des usagers principaux ; les tout-petits, les élèves (motivés, sportifs, rebelles et studieux), les professeurs et la direction. Après une série d’entrevues sur place, R+FA s’est imprégné des valeurs propres à cette école et a été en mesure de répondre avec brio aux souhaits de tous (et plus encore!). De façon générale, le projet propose des zones d’études variées à travers le projet, un superbe gymnase, un souci pour le confort des usagers (acoustique, éclairage naturel, fonctionnement), un projet entièrement accessible, l’ajout de rangement, la création d’une cafétéria / service de garde et l’ajout d’une nouvelle zone de casiers pensée spécifiquement pour les enfants.

C’est en ciblant les contraintes du programme ajouté et en identifiant les défis et problématiques de l’école existante que R+FA a été en mesure de prévoir un agrandissement répondant non seulement aux exigences programmatiques, mais améliorant aussi la situation existante de l’école. Par exemple, c’est avec grande créativité que « l’espace extérieur » a été redonné aux classes en demi-sous-sol à l’aide de modules de jeux réfléchis. De plus, la répartition du programme proposé à travers l’existant et l’agrandissement a permis d’améliorer la sécurité du bâtiment tout en créant des opportunités de conception uniques et adaptées.

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YIMBY

Rosemont-La-Petite-Patrie / Site de l’ancienne usine Norampac / 2018

Design intérieur & architecture par R+FA

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CENTRE DES BELLES-RIVES

Vaudreuil-Dorion / En cours

Design intérieur & architecture par R+FA

Client: CSTL

Après consultations auprès des élèves et du personnel, il fut clairement identifié que tous cherchaient la création d’un milieu de vie. Pour plusieurs (élèves comme enseignants), ce milieu de vie se définissait en grande partie par l’apport en lumière naturelle, par un lien avec la nature et par des sous espaces pouvant être appropriés par les usagers.

L’intégration d’un nouveau programme dans une structure existante, quoiqu’écologique, présente plusieurs défis. Heureusement, dans le cas du présent projet, les défis techniques et spatiaux ont créé des opportunités uniques répondant aux souhaits des usagers. Ayant comme objectif de donner de la lumière naturelle à tous les locaux (classes, administration, etc.), le programme se déploie naturellement sur le périmètre extérieur de la structure existante. Cette répartition permet de libérer le noyau central pour y insérer deux cours intérieures. Ces cours permettent un apport en lumière naturelle au cœur du projet, facilitent une connectivité visuelle entre les différents espaces et étages, apportent de la verdure à l’intérieur du bâtiment et donnent aux usagers un espace extérieur qui est protégé des sons urbains provenant du boulevard Harwood. Au rez-de-chaussée, les deux cours définissent l’aire de rassemblement, lieu d’échange, de dîner et d’interaction.  À l’étage, les corridors enveloppent les deux cours et au cœur de celles-ci s’insère la salle d’examen qui devient synonyme de réussite et de progrès.

Puisqu’il s’agit d’un bâtiment existant, le langage architectural se développe principalement à travers trois typologies de fenêtres : la classe, le hublot et le mur rideau. Ces outils permettent le développement d’un langage architectural qui réduit l’effet d’horizontalité et de symétrie du bâtiment existant. En effet, les « hublots habitables » reliant les deux étages viennent créer un rythme volumétrique sur les façades brisant ainsi la monotonie du bâtiment existant. Ainsi, chaque classe profite d’un hublot habitable pouvant être utilisé par les élèves (lecture libre, etc.). De plus, afin d’offrir un dialogue plus franc entre la façade principale du bâtiment et le boulevard Harwood (rue commerciale), l’aire administrative est aménagée sur la façade principale.

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AGRANDISSEMENT DE L'ÉCOLE SAINTE-BERNADETTE-SOUBIROUS

Montréal / 2019

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ÉCOLE SACRÉ-COEUR

Longueuil / 2021

Design intérieur & architecture par R+FA
Photographie par @davidboyer.photographe

Client: CSSMV

Le programme de l’école s’articule le long d’un axe de circulation traversant, faisant le lien entre les accès administratifs et du service de garde. À cet axe se greffe la trame régulière des salles de classes. Puis, les éléments communautaires et complémentaires du programme (gymnase, salle polyvalente, bibliothèque) s’insèrent au volume. Finalement, des percées visuelles et des classes extérieures viennent interrompre la régularité du bâtiment et offrir des espaces de détente et de découverte aux élèves de l’école et à la communauté.

La matérialité de l’enveloppe se décline en deux temps:

  • Le rythme dansant mais structurant des modules de béton préfabriqués blancs, qui caractérise le volume des classes et espaces administratifs. Des meneaux de couleur vive accentuent l’alternance des fenêtres simples et doubles des locaux.

  • Les extrusions et intrusions de céramique de couleur vive, venant souligner les entrées, les classes extérieures, l’agora et le gymnase. Des fenêtres au verre coloré apportent un élément ludique et lumineux à ces espaces importants.

© David Boyer Photographe Inc. 006 - réduit.jpg

UN SITE… TROIS IDÉES!

Mont Sutton

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LES HABITATIONS DE L’ANCRE

Montréal-Nord / 2019

Design intérieur & architecture par R+FA

Le projet proposé par Les Maisons de l’Ancre inc. dans l’arrondissement de Montréal-Nord comporte 22 unités avec soutien communautaire dédié aux femmes âgées de plus de 40 ans défavorisées économiquement et présentant un risque d’itinérance. Le bâtiment de 3 étages en structure de bois avec revêtement de brique viendra renforcer le sentiment de sécurité des occupantes en projetant une image de durabilité et de solidité. Le jeu de brique utilisé comme accent sur les façades apportera de la texture délicate au projet et lui procurera une identité. Enfin, la teinte de bronze du revêtement métallique et du verre des garde-corps confère au projet un aspect chaleureux. 

Le concept architectural a été développé en harmonie avec celui de l’architecture de paysage de manière à ce que les façades se transforment en toiles de fond pour un aménagement vert s’implantant comme un tableau poétique composé d’éléments végétaux et minéraux évoquant une nature douce et colorée. 

Finalement, tout en créant un espace de convivialité et d'échanges visant à contrer l'isolement des résidentes, le projet les Habitations de l’Ancre participe à la volonté de mixité sociale et économique de l’arrondissement. En plus de répondre à une des priorités de la Ville de Montréal en terme de logements sociaux, ce projet est générateur d’espoir et offrira aux femmes en difficulté une réelle opportunité de se loger de manière permanente en toute sécurité et dans de bonnes conditions afin de poursuivre leurs démarches personnelles de réinsertion et de guérison. 


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WEIGHPACK

Montréal / 2016

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NOUVELLE ÉCOLE FRANÇOIS-DE-LAVAL

Montréal / 2018

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L'Association Logement Amitié fondée en 1988 a pour mission de procurer de l’habitation adéquate à coût modique aux personnes ayant un problème de santé mentale et souvent à risque d’itinérance. En 2005, à force de ténacité et d’ardeur, l’organisme ouvre fièrement les portes d’un immeuble de 42 logements sociaux à une clientèle défavorisée ainsi que d’un centre de jour communautaire au centre- ville de Montréal, dans l’un des secteurs immobiliers les plus recherchés. Malheureusement, après 8 ans d’opération, cette ressource tant appréciée est la proie des flammes et les résidents de la rue Mackay sont déracinés de leur milieu de vie. Il est temps de recommencer à neuf et non seulement de réintégrer les résidents, mais de bonifier et d’améliorer le projet initial.

C’est dans cette optique que l’Association Logement Amitié propose sur le terrain de l’ancienne résidence un nouveau projet totalisant toujours 42 unités d’habitation permanentes accueillant également un centre de jour communautaire. Ce terrain se situe entre des bâtiments à l’architecture traditionnelle et une future tour d’habitation de style contemporain avec un basilaire constitué de maisons de ville.

Dès le début, l’histoire entourant l’ancien bâtiment et le tragique incident est perçue comme une opportunité conceptuelle évoquant le renouveau. L’idée est d’harmoniser les deux langages architecturaux présents dans le contexte tout en prenant soin de rendre hommage à l’ancienne construction. Ainsi, l’imbrication d’un volume de brique à un volume en revêtement métallique propose un étroit dialogue entre les voisins adjacents à caractère traditionnel et la tour d’habitation contemporaine.

PROJET AMITIÉ

Ville-Marie / 2019

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ANNEXE SUR LE LAC

Agrandissement d'un chalet à Piopolis / En cours

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MALI

Concours pour l'agrandissement du Mali à Lima / Pérou

Équipe de travail: R+FA / L'U

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CAMIONS VOLVO MONTRÉAL

10525 Chemin de la Côte-de-Liesse, Dorval / Nouveau projet par le Groupe Mack-Volvo Montréal / 2017

Crédit photos: Site web du Groupe Montoni

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ÉCOLE SAINT-LUC

Auditorium et locaux de musique / Montréal / 5 M$ / 2011

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Concours | Bibliothèque de la ville de Saint-Constant

Saint-Constant / 2018 / Classement: 2e rang

Fait en partenariat avec Cosoltec.

La forme proposée est dynamique : un bâtiment en forme de « V » qui s'adresse en même temps à la rue, aux espaces extérieurs et à la future maison des jeunes. La cour ou « jardin de lecture », générée par la forme, sert d’interface entre les différents usages.

Au rez-de-chaussée, le secteur bibliothèque dédié aux adultes se déploie dans une aile tandis que les zones dédiées à l’administration et aux opérations se déploient dans l’autre. Le noyau central (accueil, espace d’exposition, café, circulation verticale, etc.) sert de point de pivot, permettant la séparation des deux ailes. L’escalier central, visible depuis l’extérieur devient ainsi le « signet » du projet. Il s’exprime par la prolongation visuelle du bandeau extérieur de maçonnerie qui entre dans les espaces intérieurs en se repliant autour de la zone d’exposition.

En s’insérant dans l’espace généré par les deux ailes du « V », le jardin de lecture efface les limites entre l’extérieur et l’intérieur et donne aux adultes un espace de lecture à ciel ouvert.

Situés à l’étage, les secteurs dédiés aux parents-enfants, tout-petits, jeunes et adolescents reposent sur le secteur adultes, administration, et opérations, qui servent littéralement de fondation aux futures générations. En les surélevant, les jeunes bénéficient d’une vue stimulante sur la future maison des jeunes et sur les futurs aménagements sportifs et récréatifs. Ils profitent d’un espace surplombant le jardin de lecture à travers lequel ils pourront apercevoir le secteur adulte.

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Park(ing) Day

Montréal / 2014

En cette journée internationale du Park(ing) Day, c’était le temps de « jenga » [ou « construire » en Swahili]! Inspiré du jeu du même nom, Ruccolo + Faubert Architectes et ses collaborateurs ont proposé une partie de Jenga à grande échelle. Différentes zones - jeux, restauration, aires de repos, parcs à vélo, mobiliers - ont aussi été construites selon ce même modèle du Jenga. Le résultat final est une composition linéaire qui s’étale le long de trois cases de stationnement, qui se déploie sur différentes hauteurs, offrant des percées visuelles et divers éléments mobiles favorisant une appropriation du lieu par tous et chacun.

C’est avec l’aide de nombreux collaborateurs que RFA a pu mettre en œuvre cette installation originale. Ainsi, les partenaires EBC ont offert gracieusement la matière première, soit quatre cent 2x4! L'équipe de Dumoulin Bicyclettes a aussi mis la main à la pâte avec les membres de RFA pour construire les assemblages Jenga, en plus de fournir des victuailles tout au long de l’événement. Les copains menuisiers, la parenté et les amis se sont également joints à l’équipe de montage et ont contribué au succès de l’installation.

Situé sur Jean-Talon, en face du marché et à proximité d’écoles, des passants de tous âges et de tous horizons se sont arrêtés – curieux – pour en apprendre davantage sur la journée Park(ing) Day, pour bavarder sur un coin de table ou pour se divertir le temps d’une partie de Jenga! Ainsi, un esprit de communauté et d’échange s’est créé, le temps d’une journée, le long de ces trois espaces de stationnement. Après plus de 2700 coupes de bois, 5000 clous, 140 chiens chauds et plus de 87 parties de Jenga jouées, l’installation a définitivement été synonyme de succès! Si l’équipe n’a eu d’autres choix que de démonter le tout la nuit venue [au grand dam des enfants], tous se consolent en sachant que les modules seront réutilisés pour l’aménagement permanent d’une place de stationnement à l’arrière des bureaux de la firme. Nous n’avons pas fini de Jenga, la partie ne fait que commencer!

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ROSEMONT-LES-QUARTIERS

Rosemont-La-Petite-Patrie / 2015-2019

Design intérieur par DAG Design Intérieur

Aménagement du payage: Version Paysage

Crédit photos: DAG Design IntérieurRéseau Sélection, Version Paysage

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LE SÉLECTION GRANBY par Réseau Sélection

Granby / Résidence abordable pour personnes aînées

Architecture / Design intérieur / Graphisme par R+FA

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POP CÔNE

Montréal

À la fois ludique, simple et expressif, POP Cône est l’extrapolation et la métamorphose d’un symbole familier et reconnaissable.

À distance, l’installation transforme ce symbole universel du « cône de construction » en une affiche graphique tridimensionnelle audacieuse. De proche, ce symbole devient un point de contact visuel entre les chantiers et le public, il devient un outil de découverte et d’apprentissage.

POP Cône est non seulement simple dans son expression, mais l’est aussi dans sa construction. Son module réversible et polyvalent est composé de panneaux de contreplaqué hydrofuge avec percements, de cônes de construction et d’un support rigide métallique avec câbles d’acier tendus. Par sa forme rectangulaire compact de 0.9 mètres par 2.5 mères, POP Cône est facile à manipuler et à installer. Il peut se fixer à tous les types de « mobiliers de chantier » et sa flexibilité de pose à l’horizontal, comme à la verticale lui permet d’être installé sur tous les sites de construction.

POP Cône est dynamique et graphique. Sa composition permet la création de textures et d’ombres dansantes. Toute l’installation est peinte en blanc à l’exception de certains cônes de couleur orange. Ces cônes colorés, qui dynamisent l’ensemble par leur couleur éclatante et reconnaissable, deviennent aussi l’interface entre le chantier et le public.

Certains de ces cônes colorés sont vides et agissent en tant que portails visuels ou « oculaires » sur le chantier. Comme à l’aide d’une longue vue, le public pourra satisfaire sa curiosité en épiant à travers les cônes le travail en cours. Les autres cônes servent d’outil d’interprétation puisqu’ils contiennent de l’information lisible aux curieux qui s’y rapprochent : textes descriptifs, images, histoires, schémas, faits, données importantes, dates... Ces informations pourront être adaptées à chaque nouveau chantier et pourront facilement être modifiée selon l’évolution du projet de construction. De par sa conception, POP Cône est durable puisqu’il pourra être déplacé et réutilisé d’un chantier à l’autre. En effet, seuls les informations dans les cônes oranges et les nom des chantiers auront à être mis à jour.

Conçu à partir d’un seul module, POP Cône peut se déployer. Il peut être subtil – un panneau posé à l’horizontal parsemé ici et là dans un parc – ou monumental – une série de panneau à la verticale faisant la longueur complète d’un quadrilatère ! Au final, l’objectif de POP Cône est d’être accessible à tous : petits, grands, voyageurs et résidents. Son rôle est de démystifier les chantiers en convertissant un symbole populaire en outil d’interprétation. C’est une célébration de l’évolution - nécessaire, parfois dérangeante, mais toujours fascinante - d’une ville en pleine expansion. 

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B-LOFT

Ville-Marie / 2013

Conversion d'une ancienne usine.

voir video

Usine Alphonse Raymond, vers 1936. Collection Centre canadien d'architecture.jpg

SHDM _ LE MN

Montréal / 12 M$ / 2012

Le MN publié dans l'Esquisses

Publication officielle de l'Ordre des Architectes du Québec - Été 2015 vol. 26 no. 2

À défaut d’être lancés par les promoteurs, les projets qui sortent du moule traditionnel n’en existent pas moins. Ainsi, certains projets de la Société d’habitation et de développement de Montréal (SHDM) – organisme paramunicipal autofinancé qui gère un parc locatif de 4700 logements abordables – revisitent les formes habituelles des ensembles multirésidentiels. Pour conquérir les familles, elle a par exemple mis en marché des maisons avec entrées séparées et courettes, coiffées d’appartements en copropriété aux étages supérieurs (les projets Le MN et Le MN2, à Montréal-Nord).

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CONCOURS VOIERIE HONORÉ-BEAUGRAND

 

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LE MILE-END

Montréal / 15 M$ / 2006

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LA MAISON DU PÈRE

Montréal / 10 M$ / 2005

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PROJET LAVAL

Laval / en cours / 2013

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SHDM _ LE VERSO

Montréal / 20 M$ / 2011

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AGRANDISSEMENT DE L'ÉCOLE SAINTE-BERNADETTE-SOUBIROUS

Montréal / En cours

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QUARTIER LATIN

Montréal / 30 M$ / 1998

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EXTENSION DU SIÈGE DE L'OMS

Genève / Suisse

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CONDOS SAINT-DOMINIQUE

Montréal / en cours / 2013

Aménagement des toits par Ni conception

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CINÉMA STARCITÉ

Montréal / 40 M$ / 2000

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Place des incidences

Montréal

Comment influencer le parcours des passants? Comment modifier les flux de circulation afin de les faire converger vers la Place des Festivals? Certains tracés semblent immuables... Pourtant, il suffit parfois dʼinsérer une variable à lʼéquation puis le résultat sʼen trouve changé. Il en va de même pour la lumière. Quʼadviendrait-il si, pour une fois, la lumière était modifiée, transformée, magnifiée?!

 

Grâce à des prismes, la science devient art en ville et la Place des Festivals se métamorphose. Ces instruments dʼoptique ont une incidence sur la lumière; ils la réfractent, la réfléchissent, la dispersent, la diffractent, la polarisent... Cʼest la rencontre entre la lumière, la matière, la géométrie, le public et lʼespace urbain. Cʼest une danse de couleurs, dʼombres et de lumières le jour comme la nuit: avec le soleil et son orientation toujours changeante, avec les reflets de la neige, les édifices existants et les silhouettes mouvantes des passants traversant le site...

Les prismes, provocateurs de lʼimaginaire collectif en suggérant une vision de gratte-ciels transparents, sʼintègrent au paysage hivernal. Ils se combinent selon une logique de densité correspondant à celle du site; plus dense au sud, plus dilué au nord. À lʼéchelle urbaine, ils sont déposés à la manière dʼun trait lumineux. Une grande variété est proposée à différentes échelles avec des prismes de différentes hauteurs, placés à angles variables et assemblés en groupes de densités multiples, sʼadaptant tant à la perception des jeunes que des adultes.

Devenant lieu de jeux, lʼœuvre provoque les rencontres. Les prismes et leurs effets lumineux ont alors une incidence sur le parcours des passants. Ils invitent les utilisateurs à comprendre les phénomènes physiques qui les entourent et à interagir avec ceux-ci en sʼinterposant entre les prismes et la lumière. Que la lumière soit naturelle ou artificielle, les effets dʼoptique obtenus sont multiples : jeux dʼombres, profusion de rayons, création de spectres colorés... Même sans source lumineuse, le projet propose des effets miroirs, en plus de recréer des ambiances énigmatiques où le public et son contexte sont reflétés dans lʼœuvre. Leurs mouvements interrompent certains faisceaux; il suffit dʼun seul pas pour que la chorégraphie des rayons soit transformée.

Ainsi, tout changement de lʼenvironnement a une incidence sur les prismes et leurs réflexions. Un dialogue se crée entre le public et lʼœuvre. La lumière provoque une incidence sur le parcours des passants et les passants sur le parcours de la lumière.

Centre Leonardo Da Vinci

Montréal / 20 M$ / 1997-1999

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TRIBUNAL DE LA JEUNESSE

Montréal / 38 M$ / 1998

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ONZE DE LA GARE

Vaudreuil

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VIVA CONDOS URBAINS

Laval / 97 M$ / En cours

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HÔPITAL SANTA CABRINI

Montréal / 50 M$ / 1990-2010

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